lunes, 1 de junio de 2015

Almanzor itinéraire et la passion de voyager à cheval





J’ai toujours aimée monter à cheval.

J’avais montée pendant l’enfance, mais après, les problèmes quotidiennes, le devenir de jour , le fait d’élever mes enfants et les inquiétudes professionnelles, en fin, la vie, m’ont fait presque oublie.

Alors, un ami me proposa un bon plan : Nous allions rejoindre un groupe de personnes que était en train de faire «La route de Almanzor».

Il s’agit d’une recréation du dernier voyage du chef militaire arabe. Un voyage à cheval depuis La Rioja jusque à Medinaceli à Soria.

Nous prenions part quatre amis avec trois enfants, et cela tut une expérience très amusante.

Le groupe portait des d’déguisement et a la arrivée des « mores » aux villages, nous étions recru pour les habitant et les autorités locales avec une grande hospitalité.

Peu après, nous revenions de chasser à Burgos et pour surprise un haras que faisant la publicité de routes à cheval.

Mon ami et moi croisons le regard et il n’était plus de dire un mot.

Nous acheminions nos pas vers l’intérieur et après avoir inter changer quelques mots avec le responsable, nous nous sentions complétement convaincu.

Fini le printemps et pendant le été, nous nous organisons pour commencer à monter avec le début de l’année scolaire.

Nous allions à la campagne quelque dimanche. Promenade, déjeuner a plain ciel et retour. Certaines fois sortions seuls, mais bientôt nous rejoignissent outres dévots du « chorizo », fromage et bon vin. 

Dans notre sorties nous commençons à nous familiariser avec l’environnement. Initialement nous prendrions grands points de référence, mais, progressivement nous étions capables de reconnaitre les sentiers, les chemins et les écartements. 

Pendant que tout avait lieu, on y allait fixer nôtres connaissances hippiques : depuis le simple maniement au pied, jusque-là équitation que chacun avait à l’intérieur, passant pour la résolution des problèmes habituelles quand voyages à cheval : remplacer un fer à cheval, une rêne casse, ou récupérer un cheval échappé pour inattention du cavalier.

Les distances que nous parcourions étaient de plus en plus grandes. Ce n’était plus suffisant deux ou trois heures de dédication, nous étions assoiffes et avions besoin de plus.

Une idée efflora de quelqu’un, cela nous faisant souffrir, rêver at a la fois jouir a parts égales: nous allions faire « El Camino de Santiago » depuis Sanabria. 

Mais cela… ça fait partie d’une autre histoire.




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